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Mine Raglan

Nunavik

Scenic trail.

Plus de 1 800 km de Montréal

Baie déception

Entrepôt du minerai

Le dôme, stockages du nickels avant son transfert à Québec par cargo, puis par train vers les fonderies de Glencore en Ontario. Par la suite, le concentré est retourné à Québec par train et expédié en Norvège par bateau pour y être raffiné.

Ce dôme a été longtemps « le plus gros au monde’ ! inscrit dans le Guinness Book , devancé depuis quelques années seulement par la Chine.

Visite de la Baie Déception

La baie Déception (inuktitut : ᓴᓪᓗᐃᑦ ᑐᓪᓖᑦ) est une baie du détroit d’Hudson, au nord de la péninsule d’Ungava, dans la région administrative du Nord-du-Québec.

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Baie Déception

La baie joue un rôle économique essentiel au Nunavik

Baie Déception

L’origine de cet ancien toponyme reste inconnu. Ce toponyme avait initialement été attribué à la baie, puis à la rivière et enfin à un de ses tributaires. Deux hypothèses subsistent sur l’origine du toponyme. Certains soutiennent que ce nom proviendrait d’un navire de la Compagnie de la Baie d’Hudson ayant fait naufrage dans la baie lors d’une tempête, au XIXe siècle. D’autres estiment qu’il aurait été utilisé par John Arrowsmith pour souligner la déception qu’aurait eue à cet endroit, en 1611, Robert Greene et ses hommes à la suite des gestes d’inimitié de la part des Inuits.

Une carte éditée en 1834 par John Arrowsmith indique d’ailleurs les appellations « Deception Bay » ou « Forster Harbour ».

Le toponyme « rivière Déception Est » a été officialisé le 12 février 1973 par la Commission de toponymie du Québec.

Cette baie est située à 40 kilomètres à l’est du village inuit de Salluit et à environ 60 km à l’ouest du cap de Nouvelle-France lequel démarque la limite du détroit d’Hudson et de la baie d’Ungava. La baie Déception a une largeur d’environ 2,5 km et une longueur de 20 km. La baie Kangirsugaarjuk (longueur: 3,9 km) constitue un appendice pénétrant la rive ouest de la baie Déception.

L’entrée de la baie par le Détroit d’Hudson est gardée par l’île Neptune (diamètre: 1,9 km) et l’île Artic (longueur: 550 m). Une longue grève se dégage à marée basse entre l’île Neptune et le « promontoire Maurepas » sur la rive sud-ouest. Cette zone de l’entrée de la baie est désignée « False Passage ». Le « canal Principal » (main channel) est situé entre l’île Neptune et l’île Artic. Le canal de l’est est situé entre l’île Artic et la rive est, près de la Pointe Rouge. Source: Wikipédia

À venir

Diaporama & Vidéos

Nous préparons une série de photos et vidéos à publier ici dès que nous aurons terminé la capture d’image de la mine.

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Qapik Attagutsiak

Héroïne de chez-nous

Nunavut

Deuxième Guerre mondiale

Le 27 janvier 2020, Parcs Canada reconnaît l’aînée inuite Qapik Attagutsiak à titre d’héroïne de chez-nous pour ses importantes contributions au Canada lors de la Deuxième Guerre mondiale. Elle a participé à une campagne nationale de récupération des ossements, de la graisse, du métal et du caoutchouc pour la production de guerre. Elle habitait alors sur une île près d’Iglooik à l’ouest de l’île de Baffin (Nunavut). Elle recueillait les ossements de morses et de phoques, lesquels étaient par la suite transformés en colle pour les avions, en engrais et en cordite (un agent propulseur utilisé dans les munitions). À l’âge de 99 ans, Qapik Attagutsiak a été honorée au Musée canadien de l’histoire à Gatineau (Québec) par Nellie Kusugak, Commissaire du Nunavut, et Jonathan Wilkinson, ministre de l’Environnement et du Changement climatique.

Source: Encyclopédie Canadienne

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Le chien inuit canadien

Baie déception

Patapouff

Patapouff fait partie de la famille à la Baie Déception. Malgré son âge avancé c’est toujours avec plaisir qu’il accueil chaque visiteur.

Il y a quelques années Patapouff a repérer un ours polaire qui s’approchait dangereusement des campements de la Baie Déception, grâce a son travail de gardien, les responsables de la Baie Déception ont pu avisé le service de la faune qui ont pris ce visiteur indésirable pour le relocalisé loin des installations.

Le chien inuit canadien constitue l’une des cinq races de chiens reconnues par le Club Canin Canadien, qui emploie le nom de « chien esquimau canadien ». Pour le gouvernement du Nunavut, c’est le chien inuit et l’emblème animalier du territoire. Dans le dialecte inuktitut de Baffin Est, on l’appelle qimmiq (orthographié kimmik dans d’autres dialectes). Durant des centaines d’années, les Inuits et leurs ancêtres avant eux ont utilisé ces chiens pour tirer leurs traîneaux.

Des années 1950 jusqu’aux années 1970, la Gendarmerie royale du Canada et d’autres autorités gouvernementales ont abattu des milliers de chiens de traîneau et pratiquement exterminé la race, sauvée depuis grâce à un programme de revitalisation.

En 2018, on comptait environ 300 chiens inuits canadiens dans les registres du Club Canin.

Source: Wikipédia

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Thayer Lindsley

Le père de géants miniers

Géants miniers

Thayer Lindsley

Il avait un sens phénoménal de la géologie qui l’aida à construire un empire de propriétés minières à travers le monde.

Thayer Lindsley, le père de géants miniers comme Falconbridge, Ventures et Frobisher, a été décrit comme le plus grand découvreur de mines de tous les temps. Non seulement il créa Falconbridge, devenue l’une des plus grandes multinationales minières du monde, mais au cours de sa longue et extraordinaire carrière, il découvrit ou fut impliqué dans le développement de plusieurs autres mines célèbres comme Sherritt Gordon, Giant Yellowknife, Canadian Malartic, United Keno Hill, Lac Dufault, Opémiska Copper, Connemara (Rhodésie) et Whim Creek (Australie).
Son génie géologique et inventif ont fait la bonne fortune de peut-être plus de 185 compagnies en tout.

Dans un livre sur l’exploration publié en 1966, il décrivait lui-même les qualités qui en firent un géant du monde minier:

“Pour avoir du succès dans la découverte de mines, il faut la détermination, la connaissance, la ténacité, une robuste constitution pour supporter les rigueurs des éléments, et aimer renverser les obstacles de toutes sortes. De plus, un brin d’imagination et d’enthousiasme ne fait pas de tort.”

Source: Canadian Mining

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Inuksuk (inukshuk)

Le drapeau du Nunavut porte un inuksuk rouge

COMMUNIQUER AVEC LES HUMAINS

Inuksuk (inukshuk)

 

Un inuksuk (ou inukshuk, au pluriel : inuksuit) est un empilement de pierres ou de rochers dont la fonction est de communiquer avec les humains présents dans l’Arctique.
Des inuksuit ont été retrouvés à proximité de sites archéologiques datant de 2400 à 1800 av. J.-C.

Les inuksuit sont placés à travers le paysage arctique et agissent en tant qu’aides pour les Inuits. Parmi leurs nombreuses fonctions pratiques, ils sont utilisés comme aides pour la navigation et la chasse, points de coordination, indicateurs de différentes sortes et centres de messages (pour indiquer, par exemple, l’emplacement d’une cache pour la nourriture). Outre leurs fonctions terrestres, certaines figures ressemblant à des inuksuit ont une connotation spirituelle et sont l’objet de vénération, marquant souvent le paysage spirituel des Inummariit, c’est-à-dire les personnes qui savent comment survivre sur la terre en respectant le mode de vie traditionnel.

Les Inuits construisent également un personnage de pierre connu sous le nom d’inunnguaq, qui signifie « à l’image d’un humain ». Ce personnage de pierre familier possédant une tête, un corps, des bras et des jambes, est souvent appelé à tort inuksuk. En fait, sa raison d’être est plus symbolique que fonctionnelle. À cause de son apparence humanoïde à l’image d’une petite personne, il est devenu un symbole transculturel populaire.

 

On retrouve quatre formes générales d’inuksuit

  • Le type le plus élémentaire est le nalunaikkutaq, qui signifie littéralement « dé-confondeur » et se compose d’une seule pierre placée debout sur son extrémité.
  • Un second groupe se compose des tikkuuti, qui sont des pointeurs de différentes formes et tailles.
  •  Le troisième type est un inuksummarik ou inuksukjuaq, qui se démarque par sa taille plus large que la moyenne.
  • Finalement, il y a également les inuksuit qui sont utilisés de façon évidente comme centres de messages.
    En plus d’indiquer la localisation d’une cache ou l’emplacement où un objet a été dissimulé, un tel agencement peut signifier un changement de direction dans un trajet initialement prévu, servir de précaution ou de signe pour que la personne qui suit se rende à un endroit différent ou au campement d’un parent. Si, par exemple, un chasseur perdait un phoque qu’il a harponné dans des eaux peu profondes, son compagnon pourrait aligner deux pierres sur la rive pointant vers l’endroit où le phoque a été abattu, ce qui permet de le récupérer plus tard. Les configurations qui forment ces messages sont connues des partenaires de chasse et souvent des membres de leur famille également.

 

Source: Encyclopédie Canadienne

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Inuit

En inuktitut, le mot inuit signifie « le peuple

En inuktitut, le mot inuit signifie «le peuple»

Inuit

 

Inuit (en inuktitut, le mot inuit signifie «le peuple») désigne un peuple autochtone qui habite majoritairement dans les régions nordiques du Canada. On utilise le mot «Inuk» pour parler d’une seule personne de ce peuple autochtone.  Statistique Canada, a permis d’évaluer à 59 440 le nombre d’Inuits vivant au Canada s’affichant comme Inuits, soit 4,2 % de la population autochtone. En 2011, 73 % des Inuits vivent à Inuit Nunangat. On retrouve près de la moitié de ce nombre au Nunavut,

Dans les communautés nordiques contemporaines, beaucoup d’aliments, comme les fruits, les légumes et les produits laitiers, doivent être transportés sur de longues distances, ce qui augmente les prix de ces aliments aussi rares que rarement frais.

C’est ce qui explique la prépondérance d’aliments traditionnels locaux, plus facilement disponibles, dans le régime des Inuits. Un rapport de 2005 établit que la majorité (68 %) des Inuits adultes vivant à Inuit Nunangat participent à la récolte et la chasse d’aliments traditionnels locaux comme le phoque, la baleine, le canard, le caribou, le poisson et les baies.

Ces aliments demeurent une source alimentaire importante pour beaucoup d’Inuits. En effet, 65 % des ménages disent que la moitié de leurs viandes et poissons proviennent de sources locales, et environ 80 % des familles affirment partager leurs aliments locaux avec d’autres foyers.

 

Projet Sivumut

La propriété Raglan au-delà de 2020 (Phases II et III)
Les activités actuelles de Mine Raglan (Phase I) – lesquelles débutèrent en 1997 – devraient diminuer graduellement à compter de 2020. Afin d’assurer la continuité des activités de Mine Raglan pour encore plus de 20 ans, nous avons lancé le projet Sivumut.
Le projet Sivumut constitue une opportunité de maintenir et de développement nos partenariats avec les Nunavimmiut (qui signifie « Inuits du Nunavik » en inuktitut) et, plus spécifiquement, avec les communautés de Salluit et de Kangiqsujuaq. Assurer l’avenir de Mine Raglan contribuera aussi au maintien des bénéfices socio-économiques pour l’ensemble du Nunavik, et ce, par l’entremise de la création d’emploi, de l’octroi de contrats aux entreprises locales et du partage des profits.

Il est important de mentionner que le projet Sivumut sera réalisé dans le respect de l’Entente Raglan.

Source: Encyclopédie Canadienne

Source: Mine Raglan

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Mine Raglan

Nunavik

Mine de nickel située à Katinniq

 Raglan 

Mine Raglan est née en 1995 avec la signature de l’Entente Raglan avec les Inuits du Nunavik, représentés par la Société Makivik de même que les communautés avoisinantes de Salluit et de Kangiqsujuaq et leur corporation foncière respective. Nous étions alors le premier projet minier au Canada à signer une entente sur les répercussions et les avantages avec un groupe autochtone.

Ce n’est toutefois qu’en décembre 1997, après l’obtention des autorisations gouvernementales et l’approbation des communautés inuites concernées, que Mine Raglan a officiellement été mise en production. 

Il aura fallu des investissements initiaux de plus de 600 millions de dollars canadiens pour construire nos installations et démarrer notre projet. De plus, nous avons faits de nombreux investissements au fil des ans pour construire de nouvelles infrastructures, améliorer notre port de mer et développer de nouveaux projets.

Source: Mine Raglan

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Omble chevalier

Nunavik

Le Nunavik

 

Omble chevalier

 

Le Nunavik se trouve dans la région arctique du Québec, au nord du 55 e parallèle, entre la baie d’Hudson, le détroit d’Hudson et la baie d’Ungava. Imaginez un peu un territoire vierge de 507 000 km 2 (195 700 miles carrés) qui regorge de magnifiques montagnes, de fleuves majestueux et d’innombrables lacs dans un décor de toundra et de taïga. Cette vaste étendue abrite un riche éventail de plantes, de poissons et d’animaux parfaitement adaptés aux rigueurs du Nord.

Omble chevalier Poids Populations anadromes, 3,6 à 7 kg (8 à 15 lb) Populations d’eau douce, 1 à 2,25 kg (2 à 5 lb) Record de pêche 15 kg (32 lb) Autres noms Omble de l’Arctique, omble rouge du Québec, truite rouge du Québec, iqaluppik (en inuktitut) L’omble chevalier n’est pas bien connu des pêcheurs sportifs, car ce poisson se retrouve presque exclusivement dans les régions nordiques.
L’omble chevalier est sans contredit un délice des plus recherchés. Cette merveille toutefois, comme tous les autres poissons qui vivent dans le climat rigoureux du Nunavik, croît lentement.

Les alevins, qui mesurent 25 mm (1 po) après l’éclosion, doublent de taille au cours de leur première année de vie. Ils atteignent une longueur de 8 à 15 cm (4 à 6 po) vers l’âge de trois à cinq ans. C’est à ce stade qu’ils descendent en mer où ils trouvent en abondance des petits poissons, comme le lançon et le capelan, de même que des crevettes. Ils se nourrissent avec voracité pendant un certain nombre de semaines avant de retourner hiverner en eaux douces. Pour se protéger des prédateurs, l’omble chevalier a la propriété de changer sa coloration selon l’habitat où il se trouve; il est généralement plus foncé en lac et plus pâle en mer.

Il existe une autre forme d’ombles chevaliers qui reste toute l’année en eau douce (nutillik en inuktitut) et qui se trouve dans quelques lacs.

L’omble chevalier est un vrai régal pour les Inuits qui le pêchent toute l’année, parfois encore de façon traditionnelle avec un harpon que l’on nomme kakivak. Le Nunavik a nourri hommes, femmes et enfants pendant plus de quatre mille ans. Aujourd’hui, presque 11 000 Inuit vivent dans les 14 villages modernes situés le long des côtes du Nunavik. Il n’y a que quatre communautés qui comptent plus de 1 000 habitants, à savoir Kuujjuaq, Salluit, Puvirnituq et Inukjuak.

Au cours de son évolution, ce peuple de chasseurs nomades a développé un système de valeurs admirables qui repose sur les liens familiaux, le partage des ressources et le respect de la vie et de la nature. Ce système de valeurs est d’ailleurs encore en vigueur à ce jour. Les Inuits se nourrissent quotidiennement des produits de la chasse et de la pêche traditionnelles. Le poisson, notamment, constitue une ressource renouvelable importante. Pendant des siècles, les Inuits ont su conserver cette ressource grâce à leur connaissance traditionnelle de l’écologie.

Source: Nunavik-tourism.com

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Réseau hybride éolien

Mine Raglan

Mine Raglan

Réseau hybride éolien

 

Le succès de RAGLAN I a posé les bases pour RAGLAN II, une commande renouvelée pour une seconde éolienne de 3 MW et une installation de stockage à grande échelle de 3 MW / 1 MWh.

La mise en service du projet a été achevée à la fin de 2018. La deuxième installation permet maintenant une réduction de 4.2 millions de litres par an sur le site de la mine. Cela entraîne une importante réduction des coûts de carburant et de transport pour la société, ainsi qu’une réduction considérable de l’empreinte environnementale de la mine.

L’augmentation de la pénétration des énergies renouvelables dans le réseau de la mine a imposé l’installation d’un système de batteries à grande échelle ainsi que le développement d’algorithmes de contrôle complexes afin de garantir un fonctionnement conforme aux contraintes de la mine.

Solutions installées
Une seconde éolienne de 3 MW couplée à un système de batterie bidirectionnel Li-Ion de 3 MW / 1 MWh. Le taux de pénétration de l’énergie renouvelable atteint près de 40%, l’énergie de stockage et les systèmes de contrôle jouant un rôle essentiel dans la gestion des variations dues aux fluctuations du vent, ainsi que dans la prévention des pannes de réseau en cas de dysfonctionnement de la turbine.

Source: Tugliq.com

Lyne & Réjean

lyne@damononroad.com

  rejean@damononroad.com

 

 

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